L’Animalchimiste

Eugène Isabey (1803 – 1886), Le Cabinet de l’alchimiste, 1841, huile sur toile, 66,5 x 99 cm, Palais des Beaux-Arts, Lille.


Entre ciel et terre naviguent les individus,

Amputés de l’instinct au profit de la vertu

Des complications parfois apparaissent,

Et pour certains engendrent l’effet inverse

Les forêts tropicales où règnent les animaux,

Le douanier Rousseau en a fait des tableaux

Dans son pinceau se confond l’intuition,

Que l’animal n’est pas un modèle de substitution

À l’image de l’Homme il est perfectible,

Il serait trop aisé de le dire incorrigible

Malgré tout avec la nature il doit composer,

Aucun instrument convenable n’a encore été trouvé

Victimes collatérales de notre propre essence,

Les deux se regardent en chiens de faïence

L’antidote serait de trouver la solution,

Qui effacerait du vocabulaire le mot dissension

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